Titre : Les Étincelles de la Criminologie – Épisode 4 de Law & Order : SVU, une histoire qui trouble le silence
La justice américaine, comme au quotidien, nous ramène à nous-mêmes face à l’un des problèmes les plus déchirants et complexes de notre époque : le viol d’enfants. Il est difficile de trouver des mots pour décrire le dégoût et le ressentiment qui ressortent de l’affaire du présent épisode. Les histoires sont rares où les deux protagonistes sont des mineurs, victimes et coupables à la fois. Mais il est absolument essentiel que les médias les diffusent pour que la société en soit informée et que les enfants et les jeunes puissent sentir que quelqu’un se soucie de leurs préoccupations et de leur bien-être.
Cela étant dit, ce que nous voyons est un enfant de douze ans, victime de viol, et non une femme adulte ou une personne d’un genre précis. Nous pouvons dire que ces attaques ont en quelque sorte créé un déséquilibre entre les forces en présence, en favorisant les coupables plutôt que les victimes.
C’est un éclairage sombre, la réalité d’une expérience de viol. Mais je crois que nous sommes responsables de l’univers que nous créons et que nous devons créer un univers qui favorise les victimes de viol et non les attaquants.
Nous vivons dans un monde où la culture du viol existe encore, et c’est un problème que nous devons affronter à l’école, en famille, en communauté. Il est temps d’adopter un mindset plus épanoui pour prévenir et réparer les dommages de la violence sexuelle envers les enfants et les jeunes.
Dans ce qui suit, je vais détailler ce que nous voyons dans l’épisode 4 de Law & Order : SVU, ainsi que mon opinion sur ce qu’il est important pour les communautés et les adultes pour protéger et aider les victimes de viol.
Il est à noter que ce ne sera pas un article récital des faits, mais une réflexion sur l’histoire, les thèmes abordés et les éléments qui ressortent de l’épisode.